Il ne faut jurer de rien
Alfred de Musset
1836
Alfred de Musset
1836
Résumé
Valentin, âgé de 25 ans, se retrouve face à un dilemme : son oncle refuse de lui prêter à nouveau de l’argent, à moins qu’il ne se marie. Mais le mariage est la dernière chose que Valentin souhaite, car selon lui, se marier, c’est prendre le risque d’être trompé. Il décide donc de démontrer cette vérité à son oncle en se rendant "incognito" chez sa promise, Cécile, avec le pari de la séduire en seulement huit jours. (source : Wikipedia)
Avis
Le titre rappelle On ne badine pas avec l'amour, vous ne trouvez pas ? Ici aussi, c'est une maxime, un proverbe, en rapport avec l'amouuur. Alors cette pièce se lit très vite, elle est sympa, mais voilà sans plus, ça ne vaut pas On ne badine pas avec l'amour justement. J'ai trouvé que c'était un peu trop prévisible. Au début, Valentin est sûr et certain qu'il ne tombera jamais amoureux, qu'il ne se mariera pas. Et comme "il ne faut jurer de rien", eh bien vous l'aurez deviné, il va tomber sous le charme de sa promise. Il avait décidé de lui tendre des pièges, pour prouver à son oncle qu'elle était mauvaise comme toutes les autres femmes. Mais Cécile n'est pas comme toutes ces femmes, elle surprend Valentin par son caractère, sa manière d'être. Quand il veut la séduire, elle ne fait même pas attention à lui, ce qui le frustre. Il la hait, puis après il tombe amoureux d'elle, le soir il lui balance des mots d'amour sur un banc, comme "je suis fou de toaaa". Moi ça me l'a pas fait, j'avais juste l'impression que c'était un hypocrite. Ceci dit, c'est toujours un régal de lire la plume de Musset.
Avis
Le titre rappelle On ne badine pas avec l'amour, vous ne trouvez pas ? Ici aussi, c'est une maxime, un proverbe, en rapport avec l'amouuur. Alors cette pièce se lit très vite, elle est sympa, mais voilà sans plus, ça ne vaut pas On ne badine pas avec l'amour justement. J'ai trouvé que c'était un peu trop prévisible. Au début, Valentin est sûr et certain qu'il ne tombera jamais amoureux, qu'il ne se mariera pas. Et comme "il ne faut jurer de rien", eh bien vous l'aurez deviné, il va tomber sous le charme de sa promise. Il avait décidé de lui tendre des pièges, pour prouver à son oncle qu'elle était mauvaise comme toutes les autres femmes. Mais Cécile n'est pas comme toutes ces femmes, elle surprend Valentin par son caractère, sa manière d'être. Quand il veut la séduire, elle ne fait même pas attention à lui, ce qui le frustre. Il la hait, puis après il tombe amoureux d'elle, le soir il lui balance des mots d'amour sur un banc, comme "je suis fou de toaaa". Moi ça me l'a pas fait, j'avais juste l'impression que c'était un hypocrite. Ceci dit, c'est toujours un régal de lire la plume de Musset.
En résumé : Histoire trop prévisible, et en plus je n'ai pas aimé le personnage principal Valentin.
Extraits
* "Ah ! que le coeur est un grand maître ! On n'invente rien de ce qu'il trouve, et c'est lui seul qui choisit tout."
* tout l'Acte 3 Scène I
* "-N'as-tu donc plus ni foi ni vergogne, et se peut-il que tu sois mon sang ? Quoi ! ni le respect pour l'innocence, ni le sentiment du convenable, ni la certitude de me donner la fièvre, rien n'est capable de te toucher ! (Van Buck)
- N'avez-vous donc ni orgueil ni honte, et se peut-il que vous soyez mon oncle ? Quoi ! ni l'insulte que l'on nous fait, ni la manière dont on nous chasse ni les injures qu'on vous a dites à votre barbe, rien n'est capable de vous donner du coeur !" (Valentin)