Phèdre
Jean Racine
1677
Jean Racine
1677
Quatrième de couverture
Phèdre, l'épouse du roi Thésée, éprouve une passion coupable à l'égard d'Hippolyte, son beau-fils...
Avis
C'est un fait, le Phèdre de Racine est un classique. Les vers sont en alexandrins, les phrases paraissent lourdes, tout semble complètement démesuré et dramatique. Voilà ce que je me suis dit après cette lecture. J'ai pu l'étudier en cours, et finalement après qu'on nous ait donné plusieurs informations j'ai pu apprécier la pièce à sa juste valeur. Tout commence avec de la mythologie : la déesse Venus a jeté une malédiction à une des ascendantes de Phèdre (sa mère je crois). Phèdre est donc maudite. Son sort est d'être condamnée à aimer Hippolyte, le fils de son mari Thésée. Bien sûr Phèdre ne veut pas de cet amour, ce qui explique sa haine ; mais d'un autre côté elle ne peut rien face à la fatalité que lui infligent les dieux, ce qui explique son amour démesuré pour Hippolyte. Cette dualité entre amour et haine est donc intéressante. A partir de cette explication j'ai mieux compris la pièce et l'ai bien plus appréciée aussi. C'est dommage que ce ne soit pas évident dès le départ, enfin je ne sais pas pour vous. On a face à nous un personnage complètement déchiré de l'intérieur, c'est la véritable passion amoureuse qui la dévore et rend insupportable son existence.
D'un autre côté, je ne sais pas si je peux me fier à ce qu'a dit ma prof, je n'ai pas trouvé d'autres sources le confirmant. Je ne peux donc pas vous affirmer que ce mythe existe réellement.
Avis
C'est un fait, le Phèdre de Racine est un classique. Les vers sont en alexandrins, les phrases paraissent lourdes, tout semble complètement démesuré et dramatique. Voilà ce que je me suis dit après cette lecture. J'ai pu l'étudier en cours, et finalement après qu'on nous ait donné plusieurs informations j'ai pu apprécier la pièce à sa juste valeur. Tout commence avec de la mythologie : la déesse Venus a jeté une malédiction à une des ascendantes de Phèdre (sa mère je crois). Phèdre est donc maudite. Son sort est d'être condamnée à aimer Hippolyte, le fils de son mari Thésée. Bien sûr Phèdre ne veut pas de cet amour, ce qui explique sa haine ; mais d'un autre côté elle ne peut rien face à la fatalité que lui infligent les dieux, ce qui explique son amour démesuré pour Hippolyte. Cette dualité entre amour et haine est donc intéressante. A partir de cette explication j'ai mieux compris la pièce et l'ai bien plus appréciée aussi. C'est dommage que ce ne soit pas évident dès le départ, enfin je ne sais pas pour vous. On a face à nous un personnage complètement déchiré de l'intérieur, c'est la véritable passion amoureuse qui la dévore et rend insupportable son existence.
D'un autre côté, je ne sais pas si je peux me fier à ce qu'a dit ma prof, je n'ai pas trouvé d'autres sources le confirmant. Je ne peux donc pas vous affirmer que ce mythe existe réellement.
En résumé : Une pièce qui m'a paru difficile au premier abord, mais avec quelques infos en plus elle s'est révélée beaucoup plus prenante.