Pour en finir une bonne fois pour toutes avec la culture
(Getting even)
Woody Allen
1973
(Getting even)
Woody Allen
1973
Challenge ABC : 13/26
Quatrième de couverture
Nat Ackerman est vautré sur son lit, concentré sur la lecture du Daily News. Surgissant de la fenêtre, un personnage sinistre fait une entrée théâtrale. La Mort (car c'est elle) n'est pas d'humeur à rigoler : elle s'est coincé le talon dans la gouttière et elle a un bon de commande à remplir. Histoire de se détendre, tous deux entament une partie de gin-rummy qui pourrait bien les réconcilier...
"Non seulement Dieu n'existe pas, mais essayez d'avoir un plombier pendant le week-end !"
Avis
Je dois dire que je suis assez mitigée sur ces nouvelles. Pour certaines d'entre elles, je me suis carrément ennuyée (Les listes Metterling, Parlez un peu plus fort s'il vous plaît, Entretiens avec Helmholtz, Viva Vargas! pour ne citer qu'elles). D'autres ont réussi à me faire rire, tant la chose était absurde (Le Huitième Sceau, Souvenirs de jeunesse d'un esthète). J'avais lu il y a un an L'erreur est humaine, et j'avais adoré. Maintenant que je connaissais un peu le genre d'Allen, que je savais à quoi m'attendre, ça m'a moins plut. On retrouve toujours le même humour, mais il m'a paru assez lourd à certains moments. Et je ne sais pas si c'est moi ; j'ai l'impression que notre cher Woody est obsédé par les français, la psychanalyse, Dieu, et le judaïsme...
En résumé : Assez mitigée sur ce deuxième recueil que je lis de W.Allen. Certaines nouvelles excellentes comme d'autres lourdes et ennuyeuses.
Extraits
* "Pourquoi nos jours sont-ils comptés, au lieu d'être classés par ordre alphabétique ?"
* "Quand une fille semble davantage à son aise dans un bocal rempli d'huile que dans une robe du soir, elle a tout de même de gros problèmes."
* "Picasso était un petit homme qui avait une drôle de façon de marcher en posant un pied devant l'autre et ainsi de suite jusqu'à ce qu'il exécute ce qu'il appelait des "pas"." (lire Souvenirs de jeunesse d'un esthète pour remettre dans le contexte).
"Non seulement Dieu n'existe pas, mais essayez d'avoir un plombier pendant le week-end !"
Avis
Je dois dire que je suis assez mitigée sur ces nouvelles. Pour certaines d'entre elles, je me suis carrément ennuyée (Les listes Metterling, Parlez un peu plus fort s'il vous plaît, Entretiens avec Helmholtz, Viva Vargas! pour ne citer qu'elles). D'autres ont réussi à me faire rire, tant la chose était absurde (Le Huitième Sceau, Souvenirs de jeunesse d'un esthète). J'avais lu il y a un an L'erreur est humaine, et j'avais adoré. Maintenant que je connaissais un peu le genre d'Allen, que je savais à quoi m'attendre, ça m'a moins plut. On retrouve toujours le même humour, mais il m'a paru assez lourd à certains moments. Et je ne sais pas si c'est moi ; j'ai l'impression que notre cher Woody est obsédé par les français, la psychanalyse, Dieu, et le judaïsme...
En résumé : Assez mitigée sur ce deuxième recueil que je lis de W.Allen. Certaines nouvelles excellentes comme d'autres lourdes et ennuyeuses.
Extraits
* "Pourquoi nos jours sont-ils comptés, au lieu d'être classés par ordre alphabétique ?"
* "Quand une fille semble davantage à son aise dans un bocal rempli d'huile que dans une robe du soir, elle a tout de même de gros problèmes."
* "Picasso était un petit homme qui avait une drôle de façon de marcher en posant un pied devant l'autre et ainsi de suite jusqu'à ce qu'il exécute ce qu'il appelait des "pas"." (lire Souvenirs de jeunesse d'un esthète pour remettre dans le contexte).